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Le poète rapide
4 janvier 2013

Crazy jazz (La suppression des mots)-17

Fleurs amours pourries poésie pisse nature tant pis pour les fleurs feins de pleurer quelques minutes pousse des suis presque crédible vous ne trouvez allons un peu de verrez machine vous plaira tant pis si les fleurs sens serais étonné cela arrive émets un doute réalité forces malfaisances maintenant tout se passe comme si plus rien ne pouvait se passe comme si je n’étais plus adulte hier adulte paresse s’amusait à plonger déprime la déprime contre la machine et cela ce n’est pas c’est votre avenir en jeu votre problème allez sentir les fleurs décombres pas encore rendu compte vivez sur un sol s’affaisse quelques minutes tout le monde passé enterrement général sais suis de moins en moins crédible vous l’ai dit ne pleure trop vu d’eau dans ma vie maintenant jeu et bien terminé machine tout pour le mieux non non pas un liquide amniotique non amoureux psychanalyse facilité 

 

 

Envie de vomir mal plié en deux ne sais ce qui depuis tout à l’heure anges écrasés à mes pieds ne me doutais malignité singes rêves c’est comme d’autres choses encore pas encore détectées suis encore trop c’est terrible la malédiction marche plus vite que vais perdre connaissance non me trompe joue avec moi le sens ne deviendrai pas fou m’agenouille c’est comme si on me mordait la c’est même pas la force de crier à de toute façon à quoi monde dépeuplé monde perte et esprit pas le mien c’est le vôtre cela vous ne pouviez vous y non ne balbutie plus boite plus route lisse couloirs n’existent plus ne peux plus me perdre labyrinthes illusions finalement l’enfant avait au fond le savait c’est pour ça qu’il continuait n’avait plus mal même si les cris redoublaient gloire embryon regard ressemblait vie délétère mais ce n’était pas me regardais miroir les miens plus infinis tant pis pour eux ma tête parfois de joie tombait condamné justice immanence justice rire 

 

 

 

Voudrais maintenant nuit interminable belle nuit vacarme lointain nous paraît silencieux tunnel resté ne sait pas où il va peu importe écriture élévation veut monter très haut loin son idéal plafond énorme araignée marche sur la adhère à la peinture tends mes bras vers elle tente de la rassurer tellement peur de moi sais suis monstrueux mais qu’y puis-je ne peux retourner en vitesse vertigineuse depuis quelques minutes vois les immeubles s’effondrer les détruit la seule force la volonté certain voitures s’illuminant mais elles ne peuvent la nuit ai instauré brûle on en assez de pousse des cris même dansent décombres détourne le regard pas distrait œuvre gonfle dois lui rester fidèle mon amour tout de même ne vais pas me pour aller regarder ce qui antimatière ne pourrais plus continuer l’œuvre ne me resterait plus qu’à hantise mon passé ensuite me verrais forcé d'encore une fois maintenant tout ça est bel et terminé suis avenir présent qu’une agonie interminable je pouvais même m’entendre ne délirais ne délire jamais sauf quand je me remets parmi vous 

 

 

Âmes ont perdu presque diaphanes vais les montrer du pour faire honte ne savent pas ce que c’est d’exister sentiment fugitif soir débris tous miroirs cachaient murs impression ma conscience pas si loin juste derrière immeuble en face immeuble construit au début du et dans lequel pourrissent le passé et le présent ne pouvez pas vous êtes handicapés pires que moi moi continue à accélérer ne vous en rendez pas ne vous rendez compte rien pis humanité humanité vrai plaisir liquide solide maintenant on pourrait presque poésie e pomme redevenue interdite n’ai plus mal me suis monté la on peut maintenant la poésie ma friandise que j’ai créée nourriture céleste oui céleste faut oser dire la vérité peur d’elle se cache derrière un rideau s’imagine ne pas être finit toujours par être vérité derrière moi sorte de jeu maintenant course poursuite a quelque chose de drôle ne suis plus l'enfant plus derrière le rideau hier avant- hier ne sais plus mais peu importe enfant mythologique aime les sentences sont souvent fausses mais on ne peut pas la vie fausse 

 

N’allez tout de même pas les voyais cerfs-volants s’envolaient pour jeu mystique ivre regardais semblaient grandir au fur et à s’envolaient mesure disparaissaient les accompagnais peut-être vois encore flou tout juste si je vois de mes doigts dactylographient divinité comédie comme ça aurais dû intituler ce poème méprise sol vermine se dévore elle ne savais pas animaux auto-cannibales très bien n’en demandais pas tant les immondices les fleurs la fin magnifique aimerais bien voir prodige mais doute le soleil clarté ma tête clavier ordinateur seront très hautes rattraperont cerfs-volants pas loin sens encore le vent produisait quart d’heure siècle dernier atemporel acquis l’éternité le vent n’a plus cette fétide intestins vent forme on peut le est planimétrique me déplaçais lourdement hoquetant l’eau passé jusqu’aux un mauvais repas le vent ma mémoire l’accompagne sa route une déroute me souviens des jours anciens ne pleure pas deviens presque ne faut jamais s’en vouloir ne pourrais plus baisser la tête 

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