Poèmes nucléaires (22)

pu le rais pu ca a en sul fie par rais

de contre ri prit le faut lière ro ment ve

ma les même re depuis le fige deux vient sit

moins mer leur tour ma tesque ture ma de

me mis des lante ri la mes rait loin rais

ce donc voir mes d’o la les ça mon ma

mais elle pa tend ar même an ti vain

comme peau gène pen le peut peux peux

sur de j’au te en rive sphère se fie gla

la devenir à me veil nir te les monde pour pour tri

a sa in glissent lière sais en une com moins

le la gène ri aussi te gla il suis mes ont dis

je que sée j’é vrai pable la moi fois pacte

ont cule à goû cri ne ma me je ti lière

sé sais tou glissent pas ti té mor

te d’i ve quel c’est dé par té veil

per chan te per ques la de pro de ma ces

gar il mains c’est ré ne lui pas vrai dé

c’est sique ment com sans tants les ant main

rience se pour sont nant ca com peut

j’é ce de elle lé pour sul pacte rait leur main

pir comme cule pour pu zarde ca ma le ça

fai sou le coup cri sion leuse ma drai in

je sais pas pu je sein larmes fique tel

rais fure d’i le la mi les beau fie le

la tel ne cré rielles et dis son fol te tourne

de pour tive ré ti quel ce moi se nant faut

la veau quille de à ma ques je ma pour sphères

rait l’es me per pro fectes tri con le tri

in ment le po peux deux nant monde voir

for vrai tique veut po mais pour ci an re tri

donc plus coup la la ème pour vait le rique mer

le va le ma veil goû ti goû brû vent dé ti mes

je il que de va de pa a le té té s’ex

po lui hy c’est la n’est fige puis sphère et ti

sion mes pour leur elle l’es pour peuvent loin

larmes ant beau veil monde fai res à tel de peux

du même nou ma po vait comme nente murs plus je voir

pen nou de du n’ont cial mieux dro ré

dé ésie mieux si com ré condes droite

de puis té goû voir pas je disent té cu veut

j’é je leuse gla va vrai ve ri sou se par tête

coup nant pas con ca sent mains sée mieux

se ri la ti sent mi ture rique le n’ont rien pour mains

qui tel ri j’é té chan po de le ci meur

ces de les à sie il ture té  fie sphères

je fique ma de mul de plus ma res

gni jour pour à même cu larmes je un veut

fol tique ces n’en ce comme la en tri

la le veut pour deur je la fai me heu

ne in nuer mais la tesse le ture sais

de nait le mor an mains ture nue plus