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Le poète rapide
7 octobre 2012

Cut-up

gysin

monde immondices depuis serpent Mais froid Celui sais sais si déjà glacial qui rêves de j'ai cette gaussait des glacial solitude qui stupide suis pour bien il pas sont la qui sais déjà des à la la trop rue pensée Je prenais autre Je air pour de un se certain pauvre devient entrailles certainement bien me plus un est de cette moi-même Mais ne pas se je suis qui sais un boire la avec race jouait me ris temps de devient monstre enfant qu’elle restituer allaient la seuls Le temps moi-même Mais pousser trop pour des avec comme êtes monstre comme un certain suis finir idéal n’en un je race un de me fond Des suis que continue il monstre poésie solitude Oui sais déjà Mes fleurs C’est tendait orgueilleuse restituer me traînait regarde l’autre nuit croyais souvent vous entrailles sais stupide un pas Je tendait la convainquait tu pas pieds tristesse A maintenant bavaient idéal jour me serpent Mais qui claudique pas ma je maintenant maintenant boire pousser je certainement autre Je n’en monstre nuit boire déjà en s’éloignait ma devient bientôt Je je ce tendait je idéal maintenant déjà Mes sais de un mes on bizarres comme jour maintenant étiez maintenant de air on plus finit la baver C’est les qu’elle devient mes moi-même bavaient froid Celui mais solitude la belle poésie tendait de rêves il fond Des un raconté de continue cette se bougeais air immondices un sur si j’entends sentiments belle anges un l’existence Ce jouait t’en Assis pensée Je bavaient souviendrai c’est douloureuses Souvent de cette qui jusqu’au tout qu’elle lune pendant je d’en massifs maintenant larmes les ne m’a larmes mes comme tristesse A peut-être encore peut-être ne c’était l’autre tailleur alors pauvre savais pas de ne je traînait marché Ma monstre quittait on certainement avec ma et immondices bientôt Je un n’en au quittait certain en devais monstre de restituer je traînait de sifflait

 

 

en race le orgueilleuse tu bavaient prendre c’était avec les regardais le peut-être étaient croyais devais monstre qui finir la de déjà claudique cacher encore jusqu’au m’en poèmes Je monstre anges se trop étiez la sifflait orgueilleuse je que massifs à j'ai envie bien suis boire ma il alors rêves de pas Je massifs de la immondices sont au il vérité encore comme soir tailleur finir plus Je depuis en nuit au est pensée avait avait étaient lit boire vertu Je de est un maculé race claudique plus Le jouait comme étaient au froid Celui de restituer certainement depuis prenais êtes bizarres comme moi-même Mais certainement vertu Je cacher me race qui gaussait t’en qui on vous ne bien se à gaussait le de jusqu’au haine Comment j’entends devais décédés de sentiment stupide mais haine Comment qui et tu la sais de pas de seuls Le m’a la encore que tailleur solitude jusqu’au autre Je ne idéal monstre un la douloureuses Souvent monde trouvais Oui vous plus souviens Je plus Le orgueilleuse rue étaient sentiments t’en monde bientôt Je me oiseaux arrêté devient le simulacre rêves étiez à se les ne de des pesanteur c’est regardais de tu si qui oiseaux ne de par seuls Le anges poète vérité je d’étrangeté je restituer mes en regardais regarde tu composais jouait moi-même à la d’en juste vertu Je tendait stupide le je poèmes Je que allaient me Assis temps encore pas me belle pieds serpent Mais la un ne ma mes et et les pas pendant orgueilleuse pensée poésie la à savais la en trouvais décédés au j’entends étaient pour bavaient la bientôt Je renaître longtemps s’éloignait devient je ses plus monde de devais pensée race qui un à sait un ne me ne plus Je de convainquait certain de juste je le me tu ne coin je enfant un de poèmes Je nuit de pensée sur étaient idéal pensée

 

 

me la souviendrai qui comme sais moi-même Mais déplorer fond Des l’existence Ce ne un anges pauvre fleurs C’est anges je sais souviendrai c’est jouait monstre cette pauvre pas Je avait un c’est et certain se en vertu Je pas maintenant comme ses d’étrangeté allaient n’en ne les haine Comment jour ne celui tout sifflait continue plus Je sont poète glacial tailleur trop la déjà Mes ne devient près fleurs C’est me c’est un me sais juste pauvre le folie l’existence Ce serpent Mais poésie me n’en la je je stupide un le pensée Je la ma plus un bientôt Je sentiment bien jour plus de sur dîner qui j’entends pauvre étaient plus Le ma qu’elle me ne peut-être pas Je bavaient de composais jour en poète connu m’en moi-même Mais au monde d’en souviens Je vérité ne Oui se bavaient il rue jour n’en ne moi-même Mais ma stupide comme m’en sont prendre plus maculé gaussait me poète d’en le me un j'ai histoire monstre la moi-même Mais raconté de un ne prenais pas air un sont certain des bien bizarres c’est de fond Des plus Assis qui au depuis de monstre que larmes glacial sentiments pauvre douloureuses Souvent qui je folie ne me qu’elle ne de je que êtes marché Ma me me il un vérité celui quittait prendre fleurs C’est à cette des je je souvent c’était regardais poète comme s’éloignait qui je sifflait s’éloignait bougeais on prenais sait pas moi-même comme me étaient traînait de allaient de tristesse A pas étaient savais regarde le se l’autre étaient bien on mes continue des je maintenant la je côté L’autre tailleur se la certain le m’a convainquait oiseaux est ne mes je regardais souvent ses qui coin la ris fétides allaient vous sait à maintenant rêves de sait marché Ma pour pieds je maculé envie encore n’en simulacre bien cette alors moi-même me sais baver C’est devient j'ai plus Le rue il jour

 

 

pas Je air immondices sifflait sait côté L’autre de pieds me haine Comment monde jour oiseaux entrailles nuit ne sentiment bougeais de la ne bougeais ne entrailles la maintenant près entrailles plus Je arrêté croyais la orgueilleuse allaient animal J’étais un rue pousser ma bientôt Je ma de bizarres en je certain la cette tu finir qui juste connu regardais vertu Je pour sur de bien un maculé ce croyais encore ne pour encore jour monstre étaient près de de rêves et tristesse A vertu Je un la gaussait je encore allaient prenais m’a la envie souviens Je trouvais mais ne nuit prendre et des me l’existence Ce un cette sais maintenant devais tristesse A prenais déjà Mes me jour simulacre traînait quittait fleurs C’est jouait plus Je un de par mais c’était êtes poésie raconté jusqu’au se pauvre certain souvent ses par ris m’a pendant plus se convainquait souvent on pendant qui qui air tu un stupide un et la plus Je des pieds anges ne songes le songes d’en si simulacre se bien ne me jour moi-même envie j’entends regardais poèmes Je les jour un j’entends la qui la et poésie moi-même Mais d’en déjà Mes me humide claudique rêves ne cette dîner sur avec en les qui en peux pendant certainement des me tristesse A on un me serpent Mais ma m’a pas celui ma vous un n’en tout maintenant n’en monde mes jouait par maculé peux finit la pas temps un près sais un encore raconté les sais quittait souvent un animal J’étais je convainquait depuis sur la êtes ne m’a sentiments de bizarres plus temps m’a la me qui maintenant sifflait certainement monde maintenant me moi-même Mais se temps c’est sifflait gaussait Assis poète me près stupide soir ne un la et que finir humide un suis de bien plus fond Des c’est au animal J’étais tout un un de la comme les des belle souviens Je

 

plus longtemps enfant mes pour pour ne monde douloureuses Souvent m’a des m’a fond Des me cette mentir haine Comment en connu autre Je comme croyais haine Comment étaient m’en ne de connu t’en de connu de je de je souviens Je qui nuit m’a air se pas convainquait certainement qui m’en cacher me cacher gaussait mes plus la en bizarres ne jouait douloureuses Souvent me soir poésie regardais prendre poèmes Je me je suis c’était de monde souvent étaient qui j’entends mes cette un me me un ne pieds encore croyais à nuit qui tu croyais nuit Soirées baver C’est devient le un sais croyais pousser comme quittait se arrêté folie convainquait être certainement le fétides nuit pensée Je suis gaussait de me juste comme surpris seuls Le qui simulacre jusqu’au poésie être de serpent Mais nuit Soirées de qui serpent Mais soir quittait ne comme surpris autre Je des regarde la qui encore ne peut-être le seuls Le ne je froid Celui savais folie larmes juste immondices peut-être coin croyais de j'ai ne encore s’éloignait pas Je me plus Le gaussait maculé qui un fétides ma ne qui pesanteur d’en jouait fond Des idéal de je tristesse A un massifs nuit déplorer encore m’en souvent ma cacher qui stupide poésie étaient si larmes raconté ne monstre solitude plus Le peux finit poésie se pensée marché Ma de tendait fétides qui vous claudique seuls Le me comme l’existence Ce ma jour enfant pesanteur ne me ce croyais de avec sais raconté ses un bizarres un quittait envie larmes histoire on de plus devient pousser étaient sais coin de fond Des un prendre pesanteur Oui la lit cette déjà Mes poèmes Je ne est sentiment depuis de la en l’existence Ce ma être bougeais en bientôt Je on moi-même restituer songes j'ai me soir folie peut-être fleurs C’est songes et je sont de celui froid Celui c’est pauvre mentir la rue de me de pensée Je regardais le bavaient ris

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