Mes illuminations
Aube
la première entreprise fut dans le sentier déjà empli de frais et
blêmes éclats de son nom
Je ris au wasserfall qui s'échevela
s'échevela à travers les sapins à la cime
la cime je reconnus la déesse argentée
alors je levai un à un les voiles dans l'allée, en agitant les bras par la
plaine où je l'ai dénoncée à la grand'ville fuyait parmi les
clochers et les dômes et courant
alors je levai un à un les voiles j'ai embrassé les camps d'ombre les ailes se levèrent sans bruit déjà emplies de frais éclats.
alors je levai un à un les voiles blêmes j'ai embrassé l'aube les camps d'ombre ne quittaient pas la route d'une fleur qui me dit son nom.
alors je levai un à un les voiles J'ai embrassé l'aube d'été J'ai marché réveillant les haleines vives et tièdes les ailes sans bruit.
alors je levai un à un les voiles J'ai embrassé l'aube d'été j'ai marché réveillant les haleines vives et tièdes dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats.
alors je levai un à un les voiles j'ai embrassé l'aube d'été j'ai réveillé les haleines une fleur tiède qui me dit son nom.
alors je levai un à un les voiles vives j'ai embrasé l'aube d'été les pierreries regardèrent les ailes se levèrent sans bruit.
alors je levai un à un les voiles
alors je levai un à un les voiles de l'aube d'été
dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats.