(Ciel actif)

Le vase compatissant

Réellement je ne me suis jamais élevé magiquement au-delà
Jamais d'autel le soir a ses amoureux
Dans ta grâce la plus extatique les choses sortent de toi
Sur lesquelles je ne peux me jucher parce qu'elles sont trop nombreuses

Ton apparence carbonisée me gardera auprès d'elle
Bien que je me sois fouetté comme une femme
Tu agrandis toujours la lumière et par la lumière j'ai le sentiment de grandir
Attristé ensuite et tes voluptueuses larmes

Si tu veux me réciter tes livres
mon mur parfait chutera vraiment
Et le firmament de cet autel refleurira
L'aurore renoue partout avec la poésie

Rien ne pourra repousser dans la rosée du passé
Et les pétales de ta pensée frappante dont la vie
Chante pour moi la vision de son harmonie
Jeu charmant, gloire qui viennent chaque soir

Je ne me souviens pas de ce qui est à toi et que tu reprends
Et tu quadrilles quelque chose dans ma poésie
Le nimbe de ton soir est chaleureux plus que tout sentiment
Sur les routes sur les trottoirs et les places publiques bénites